Ces étrangers qui gouvernent le Gabon 50% et ? %

Publié le par ADNAND



Lorsque nous considérons tous ces hommes qui ont et qui continuent de gouverner le Gabon, les prenant pour des étrangers il y a une cause.

Elle est d'autant plus grande et grave. Omar Bongo Ondimba 41 ans de pouvoir sans partage, laisse le Gabon à terre, sans avoir développé le minimum de ce qui pouvait faire du Gabon, un pays autonome. Ali Bongo s’engage par un coup d’Etat électoral à devenir président par la force et de la manipulation des urnes. Des deux personnages, il plane un vent sceptique, qui sous tend à dire que Bongo avait un pied au Congo et un pied au Gabon. Ali Bongo fils naturel de Bongo ou adoptif, les critiques vont bon train, il n’est pas le fils du père Bongo. Cependant, il est très perplexe de confirmer ses origines.

De ce fait 50% étranger, Omar Bongo Ondimba a consacré son temps à payer l'équilibre pacifique du peuple gabonais, sous prétexte d'un semblant de paix. Les Gabonais influencés par les médias du système bongoïste, se sont abreuvés à considérer cette forme de paix apparent comme remède des maux qui laissaient présager en réalité un mauvais vent. 


A la fin du règne du premier Bongo, puisqu'il fallait s'entendre à un autre Bongo, Ali Bongo, comme on dit un arbre peut cacher la forêt. Voilà qu'au bout des événements inattendus et lorsque la nature déploie la puissance de la mort terrassant le vieux père de la rénovation. Surgit des nuées politiques gabonaises et imprévu dans le parti PDG, un jeune ambitieux, qui de surcroit se disait par enchantement, si le vieux Zeus pouvait partir, comme le clamait le BDP, un mouvement politique basé aux États-Unis, il s’emparera du pouvoir.

 
Ali Bongo fil s'engage alors de prendre les devants de la scène avec la conspiration de certaines personnalités du système de son père et par l'intermédiaire de certains milieux français. Mais l’homme on le sait déjà ministre de la défense au gouvernement du défunt Bongo.

Déjà de son bilan durant sa fonction de ministre de la défense, selon les « oui dire », il n'a pas fait mieux. Bénéficiant d'un budget assez conséquent, il a usé de tous les tours de magie, de corrompre l'armée, puisqu'il se projetait d'un objectif, celui de remplacer Omar Bongo Ondimba, peu importe les élections. Pour lui en réalité le tour était joué, rassuré par une conspiration qui n’a pas lieu d’être démontrée

La mise en scène assez pathétique des élections présidentielles auxquelles les gabonais étaient prêt à rompre avec un système qui n'a fait que miner leur vie, va coûter malheureusement la vie à quelques gabonais dans la capitale économique Port-Gentil. Un signe d'avertissement, celui de signifier aux Gabonais, " c'est moi le nouveau Président du Gabon". Ce fut donc pour lui, du ministère aux élections présidentielles, une aubaine de calcul politique d'accéder au pouvoir.

Ali comme on le surnomme, 50 ans d'âge selon ce dont on sait à peu près de cet homme à la carrure d'un catcheur, va distribuer gifles et humiliation à celle ou à celui qui s'opposerait à lui jusqu'au menace de mort, parfois incarcération à la célèbre des prisons politique le B2 à des gens qui étaient prêt à lui faire la peau.

Au grand constat des analyses qui précèdent cette critique évoquée assez succinctement. Il est Gabonais à ? % et devra en 7 ans de mandat présidentiel selon la fameuse cour constitutionnelle, faire ce que son père Adoptif n'a pas pu faire en 41 ans. Le défit est démesuré. S'il ne parvenait pas, il prendra la porte, car la patience du peuple gabonais dont il a la charge aujourd'hui après son investiture, est haute, mais il ne faut pas en abuser... 

Dans le prochain épisode de son septennat, Ali Bongo promet un gouvernement Émergent ? Attention, l'on constate que les deux étrangers jouent avec les mots, l'un parlait d'un gouvernement de combat, l'autre alors aujourd’hui, d'un gouvernement émergent. Alors ou est la différence ?

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