L'opposition parle d'Ali Bongo "Dictature émergente" par AOE

Publié le par ADNAND



Lorsque l'on se réfère aux principes de loi, de quelle loi s'agit-on alors ? 

Le Gabon a changé disait une jeune gabonaise sur le site facebook. Elle n'a pas tort, en réalité, le Gabon n'a pas changé en tant que tel, c'est l'illusion d'une politique qui n'a pas de sens. Le Gabon est en danger, car le Président élu de façon antidémocratique est très bête et ne connait rien de la chose gouvernementale.

Le paysage politique qu'il tend à vouloir changer ne régis d'aucun principe constitutionnel. Nomination par là, démission par là, c'est quoi cet amateurisme qu'il exerce. Quelle est cette politique surréaliste qui se dessine au Gabon ?
C'est quoi cette basse-cour "connerie-tionnelle" ou on l'on ne trouve plus d'autres coqs politiques. ?

On se demande ce qu'il a bien pu faire à la défense, si ce ne fut le soutien et l'aide de quelques officiers qui l'ont soutenu comme les racines soutiennent l'arbre.

Il y a quelques semaines après sa fameuse investiture et surtout je ne cessais de poster quelques affiches virtuelles sur facebook, du moins de ceux des gabonais qui étaient dans ma liste d'amis. Qu'est ce que je n'ai pas eu comme remarque désobligeante. Certains sont venu à insulter ma famille, je n'ai pas tenu compte et d'autres m'ont dit laisse tomber, comme expression des gens qui n'ont plus le sens de l'analyse politique, les résigner, ceux qui sont fatiguées de dire non. Ceux qui croisent les bras. L'expression réelle, "MI BOBE"

Ou ceux dont les familles ont bénéficié d'une nomination incertaine. Ceux là même qui criaient Tout sauf Ali. Ceux là, à chaque fois que je marquais leur nom sur des affiches virtuelles de facebook, me disaient arrête de m'envoyer des commentaires politiques. "Ma boîte est pleine de connerie".... bref !

A ceux là, je leur dit, voyez vous, la bête humaine qu'est cet Ali Bongo en fourrée de chaire...., est entrain de mettre la maison Gabon par terre. 

On dirige un pays avec des plans bien élaborés, avec des lignes directrices sur lesquelles on tend de développer ce qui pour le peuple entraine l'émergence d'un pays. D'où l'analyse de Mr Eyeghe Ndong, qui le dit si haut et fort qu'il ne s'agit pas en effet d'un gouvernement émergent, mais belle et bien d'une "dictature émergente".

C'est démentielle, Ali Bongo sait que les législatives sont le point central ou l'on pourra le dégagé comme le cailloux d'une fondre qui enlève la tête d'une papaye, il les repousse pour 2010. Pourquoi alors ne pas avoir attendu le report des élections aussi, pendant que nous y sommes. En terme simple s'il s'avère que la présidence lui tenait tend, n'avais t-il pas compris que les législatives se préparent également et qu'il ne faille n'on plus mettre des personnes étrangères au service de la nation, lorsqu'ils ne connaissent pas les lois qui régissent notre vielle constitution, bon gré mal gré utilisée à des fins inutiles et nuisibles contre l'aspiration d'un peuple qui aujourd'hui se retrouve sous la pression d'un homme, d'un dictateur, presque bientôt d'un despote... 

Mesdames et Messieurs, n'est ce pas là, nous assistons à l'expression "deux poids, deux mesures" et qu'à cela ne tienne, comme il est d'une politesse démesurée, il s'en fout, mais en tout cas l'histoire du Gabon ne s'écrira pas par lui.

Adnand ONDO EDZO- LE FANGUISTIQUE
 
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